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Le 19 septembre, une discussion sur «Les problèmes de la diplomatie populaire» s'est tenue dans la Salle dorée de l'Assemblée nationale de la République d'Arménie dans le cadre de la conférence des représentants des structures d'information des problèmes arméniens «A la rencontre du 100e anniversaire du génocide arménien», avec la participation des membres de la commission des relations extérieures de l'Assemblée nationale, des chefs des délégations parlementaires de l'Assemblée nationale au sein des organisations internationales, des membres du comité  de la «Justice arménienne», des représentants de l'UGAB, des ecclésiastiques, des membres des partis etc.

La ministre de la diaspora Hranush Hakobyan a ouvert la conférence et à présenté l'ordre du jour. Ensuite la Vice-présidente de l'Assemblée nationale Hermine Naghdalyan a lu l'allocution du Président de l'Assemblée nationale de la République d'Arménie Hovik Abrahamyan. «Le génocide arménien a été une force motrice pour la création de différentes structures en vue de la reconnaissance et de la condamnation internationales du crime sans précédent.  La reconnaissance mondiale du génocide n'est pas uniquement un acte moral mais aussi juridique car sa négation crée un sentiment d'impunité et signifie la possibilit2 de réalisation de nouveaux génocides. La mission des structures de la cause arménienne ne se limite pas par la reconnaissance du génocide arménien. Dans ce monde de grands changements la République d'Arménie et le peuple arménien rencontrent de nouveaux défis qui nécessitent des démarches pérennes et une nouvelle manière d'action» est-il déclaré dans l'allocution. Comme l'un des plus grands problèmes de la République d'Arménie, Hovik Abrahamyan a noté la régulation du conflit du Haut-Karabagh au profit du peuple arménien et la reconnaissance de juré de la République de Haut-Karabagh comme un Etat souverain. A la fin Monsieur Abrahamyan a remercié les participants à la conférence pour leur contribution à la résolution des problèmes pour la République d'Arménie, exprimant sa conviction sur le progrès de l'activité de ces structures en cas de leur travail continu et suivi.